lundi 1 septembre 2014

SERGE POLIAKOFF



Passant… à l’exposition que le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris 
avait consacrée, l’hiver dernier, à l’œuvre de Serge Poliakoff  





On dit parfois, d’un tel, qu’il a été « réduit » au silence 
– étant entendu que cette réduction est une épreuve négative.
Alors, je peux dire de ces peintures-là qu’elles nous agrandissent au silence 
– et que cet agrandissement nous est bénéfique…

Cela doit venir de ce que ce silence – agrandisseur –, 
est plein d’une singulière musique – dont les sonorités sont celles des couleurs, et les rythmes ceux des formes ?
Sans doute, mais, alors, entendue selon les termes de l’équation cézanienne :
« Quand la couleur est à sa richesse, la forme est à sa plénitude. » 


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